Marks Transports

Joseph Marks était un grand investisseurs nottament dans le domaine de l'aéronautique, mais comme tout bon investisseurs Joseph avait touché à pas mal de domaine. Ce matin là comme à son habitude il faisait le tour des boîtes dans lequel il avait investit, et ce matin là les affaires nétaient pas au beau fixe. Tandis qu'il donnait ses dernières consignes avec son associé, trois hommes se dirigérent vers eux et demandérent à lui parler. Joseph Marks ne manqua pas de regarder l'homme qui s'était adressé à lui de la tête au pied, c'était pas le genre d'homme avec qui Joseph aimait faire des affaires. Oui, Joseph était le genre d'homme à avoir des préjugés mais cela lui avait reussi, c'était un brillant homme d'affaire, qui comme tout homme qui réussit doit parfois faire des choses qui ne sont pas tous à fait légale, mais cela était ses affaires, et ils ne craignait pas ce genre d'hommes qui mise apart intimider n'avait pas grand pouvoir dans le monde juridique ou même économique.

- Mes affaires sont on ne peux plus légales messieurs, je ne vois vraiement pas de quoi vous voulez parler. Ecouter j'aurais bien aimé parlé plus longtemps avec vous, mais vous savez ce que sont les affaires, le temps c'est de l'argent...

Joseph Marks savait que les hommes allait insisté c'est pourquoi il se permit d'anticiper et d'ajouter

- Et si vous voulez prendre rendez vous pour qu'on discute plus calement, contacter ma secrétaire à ce numéro.

Il tendit sa carte de visite, comme il l'aurait fait à n'importe qui, une manière de se débarasser d'eux, de toute manière sa secrétaire avait des consignes précises, mais cela ils n'étaient pas censés le savoir!

La situation n'était pas propice à l'humour, mais Joesph avait pas mal trimé pour en arrivée là et il avait du mla à admettre le fait que de vulgaire gangster se prennent pour des buissnesman, cepandant il ajouta d'un air arrogant

- Vous voulez faire des affaires ? Vous avez des projets , alors je vous écoute...

Il hausa les épaules en signe d'attente

- C'est bien ce que j'imaginais, pas d'affaire, pas de bénéfice ou de profit...juste de la protection ! Si je veux être protégé je sais chez qui aller frapper, il y'a des organisations bien plus puissantes que la votre avec qui j'ai déjà travailler. Peu importe, je n'ai pas besoin de votre protection, si il s'agissait d'investir dans certaines de mes entreprises j'aurais certainement pris la peine de vous écouter mais là ce n'est certainement pas le cas !

Joseph n'avait pas envide de se laisser intimider et pour renforcer ses arguments il cru bon de préciser

- Vous devez certainement déjà avoir entendu parler de la Famille Manzoni ? Je suis certain que vous comprenez ce que je veux vous dire... Vous m'avez l'air d'un homme intelligent Ajouta Joseph non sans un sourire ironique.

- Un club mondiale... ( Joesph en aurait presque rit) , c'est quoi ces conneries, vous étes juste une bande de motard qui menace par la violence des hommes comme moi pour avoir gain de cause ! Faites ce que vous avez a faire ! Parceque aussi mondiale soit votre "club" vous n'en demeurez pas moins faibles, faible d'argument et aucun homme d'affaire digne de ce nom n'accepetera de collaborer avec des hommes tel que vous. La violence ne sera jamais un argument commerciale fiable messieurs...

Sur ces mots Joesph s'attendait au pire, mais une chose était sur peu importe ce qui allait survenir, l'histoire ne faisait que de commencer. Il refusait catégoriquement toute collaboration avec les Outlaws, peu importe ce qui lui en couterait. Pendant ce temps la les deux accolytes de Joesph regardait toute la scéne sans dire un mot et sans intervenir, il aurait été inutile d'aggarver la situation. Un des deux accolytes tourna rapidement la tête en direction d'une caméra de vidéosurveillance qui justement filmait le parking. Il espérait juste que de l'autre cotés de la caméra quelqu'un avait déjà prévenu la police.

LANCE DE DES

Si je fais 1 2 : La caméra film la scéne mais personne ne prévient a police
Si je fais 3 4 : La caméra film et un gardien s'empressa de prévenir le poste de police le plus proche
Si je fais 5 6: La caméra ne fonctionne pas !

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Joesph ne sentait quasiment plus la partie de son visage qui avait été en contact avec la roue du motard. La douleur était vive, il ressentait d'intense picotement ainsi qu'une sensation de paralysie qui se fit ressentir au niveau des muscles de son visage. Par terre, les genoux sur le sol, Il se releva, et se dressa devant l'homme, rageusement et dans un vif élan il balanca un coup de poing dans la figure de l'homme qui se trouvait en face de lui et ajouta

- Va te faire foutre ! aussitôt une grimace de douleur se dessina sur son visage, et il s'interrompit aussitôt. De toute manière cela n'aurait pu être plus clair. Au loin les sirénes retentirent à nouveau, Joesph savait qu'il ne s'en sortirait pas vivant, mais une chose était sur avec les enregistrements de la caméra de vidéo-surveillance, les Outlaws n'avaient aucune chance ! Et certains de ses amis sauraient quoi faire...

Qui avait dit combien de voiture de police se présenterait ? Le gardien qui avait prévenu la police, avait bien insisté sur le fait qu'il était nombreux et vraissemblablement dangereux. C'est pourquoi la centrale qui reçu l'appel envoya trois patrouilles. Les trois voitures de police avaient cessés leurs rondes et roulaient à toute allure dans les rues. Elles mirents dix minutes avant d'arriver au Marks Transports. Les policier remarquérent aussitôt le clochard qui se trouvait là. Six policier étaient sur place soit deux par voiture. Deux d'entre eux décidérent de se rendre directement à la salle de vidéo surveillance prendre les enregistrement tandis que les quatres autres décidérent d'avancer calemement vers le clochard, toujours au volant de la voiture. Il avancérent lentement jusqu'a hauteur de l'homme et demandérent

- Tu fais quoi ici ?

Pendant ce temps l'autre voiture s'arreté juste devant la porte du batiment et entrérent dedans afin de trouver le gardien qui les avaient prévenu car visiblement les hommes étaient partis.

Si je fais 1 4 6, la caméra installé à un mécansime de rotation, et par conséquent il est possible de la déplacé manuellement,le gardien annoncent au deux policiers que les hommes se cachent , et que le clochard fait parti des hommes qui ont agressés les trois hommes de la compagnie. ( si le dés tombent, aussitôt un des deux policiers prent le téléphone qui se trouve dans la piéce et prévient la centrale pour que d'autre patrouille arrive, et l'autre policier préviens au talkie walkie de faire attention au Clochard.)

Si je fais 2 3 5, la caméra donnait juste sur l'angle ou avait eu lieu la scéne, mais n'était pas assez sophistiqué pour pendre d'autre angle de vue. Et malheureusemet le reste de la scéne le gardien n'avait pu la voir il annonca donc que les hommes s'étaient enfuient en entandant le bruit des sirénes.

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