US Bowling corporation

Le bureau était vide. Une secrétaire qui passait dans le couloir fut interpellé par la présence des hommes. Elle s'approcha d'un pas rapide et decidé vers eux et ajouta à leur intention d'un ton autoritaire

- Bonjour! Vous n'avez pas le droit de vous trouvez ici et si vous cherchez monsieur Bromwey, il est abscent pour la journée !

Ajouta t'elle épuisé de devoir tout gérer elle même. La femme posa ses deux mains sur les hanches et attendit que les hommes sortent du bureau. Elle referma la porte et répliqua séchement

- Je peux vous aider ?

La secrétaire qui avait fait la charmante rencontre des bikers la veille ne s'était pas gêné pour en faire part à Mr Bromwey qui était revenu le soir même. Celui çi fut surprit d'apprendre que ce genre d'homme pouvait pénéter dans l'enceinte de son batiment sans aucun probléme. Dés le lendemain il veilla à ce que chacun des employés qui franchissaient la porte de service la referme à clé afin d'éviter le genre de désagréent qu'avait rencontré la secrétaire.

Le lendemain

Le patron avait annulé tous ses rendez vous, et avait décidé d'en profiter pour revoir un peu la comptabilité du bowling avec sa secrétaire lorsqu'on frappa à la porte fortement. La jeune secrétaire alla jusqu'a la porte et fut plus que surprise de revoir les bikers de la veille. Elle se tourna rapidement vers son patron qui compris aussitôt ce qui était en train de se passer. Il regarda sa montre, visiblement les hommes paraissait trés interessé par le Bowling de Mr Bromwey.

- Bordel de merde j'avais demandé à ce que l'on referme la porte de service... Fait les entrer !

Le patron s'était déjà levé et contournait le bureau tandis que la secrétaire se décala pour laisser passer les hommes dans le bureau.

Tandis que la secrétaire tenta d'ouvrir la porte qui restait bloqué par les bikers elle se rua dans le couloir pour aller appeller la police. De son cotés Mr Bromwey comprit tout de suite qu'il s'agissait d'un racket. Mr Bromwey était de nature nerveux et avait facilement tendance à s'emporter, bizaremment, dans la peur il resta calme, jettant quelques regards vers les hommes qui se trouvaient en face de lui. Il refusait d'accepter ce genre de ranconnage. Il se calla au fond de son siége éspérant que sa secrétaire n'était pas rester bêtement devant la porte et avait agit. Il attendit quelques minutes et ajouta

- Je... je ne... vous...paierais pas ! Bégaya Mr Bromwey

Pendant ce temps là la secrétaire était en relation avec le poste de Police le plus proche de Manhattan, et était en train de prevenir que des intrus avait sequestré son patron, " des motards" avaient elle précisé en jettant un rapide coup d'oeil par la fenêtre ou elle distingua les motos des hommes garés devant le batiment. Elle décrivit rapidement ce qui s'était passé et la jeune opératrice du centre de police lui indiqua qu'une patrouille faisait au plus vite pour arriver sur les lieux. La secrétair resta dans le bureau, attendant que la police arrive. Elle espérait que rien n'arriverrait à Mr Bromwey elle en profita pour essayer de distinguer les numéros des plaques sur les motos.( Elle ne voient rien, elle ne mémorise que la couleur des motos et elles ne prend pas le risque d'aller voir de plus prés.)

PATROUILLE DE POLICE. JE COMPTE A 10 MINUTES la patrouille qui est la plus proche du bowling. Soit je décompte 5 minutes écoulés par postes.

Deux inspecteurs de police arrivent sur place, ils se dirigent vers le batiment ou la secrétaire les attend. Elle explique aussitôt ce qui s'est passé. Un des inspecteurs se charga d'interroger la secrétaire et l'autre d'interroger le patron. Les employés présents furent également interrogés. La description et le signalement des bikers sont donnés par la secrétaire mais le patron refuse d'en dire plus. Les inspecteurs conseils vivement au patron de porter plainte.

SI JE FAIS 1 4 5
Le patron porte plainte et quitte le Bowling avec les inspecteurs. Aprés avoir déposé sa plainte il se met en congés et décide ensuite de prendre quelques temps de repos.

SI JE FAIS 2 3 6
Le patron veille à ce que l'affaire soit ettoufé et accepte de payer les ranconneur. Il attend de voir si il revienne pour leur indiquer son accord.

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Résultat : 2

- Je ne peux pas vous donner plus que deux milles dollars par mois, j'ai beaucoup de charge sur les bras en ce moment. On pourrait revoir ce tarif à l'augmentation quand les affaires marcheront mieux ! Vous pouvez regarder mes livres de comptes et vous verrez que ce que je vous donne est meme au dessus de mes possibilités ! Mais que voulez vous, vous ne me laissez pas le choix...

Le patron tendit un livre de compte à l'homme qui s'est adressé à lui. Sur ce livre est noté les revenus mensuels, les charges fixes et les charges variables, ce qui au final ne laissait qu'un mince bénéfice au patron de 2 000 $.