Un restaurant Huppé

Bobby Nucci



son garde du corps,gino "the Bear" Santucci



un restaurant huppé



Bobby qui avait de grands projets,devait maintenant trouver des mises de fonds pour ses prochaines affaires,c'est pour cela qu'il se rendit dans ce restaurant en compagnie de Gino,son garde du corps,un géant de 2 mètres et de 110 kilos.Il était habillé en costume pour assumer son rôle de chauffeur et Bobby lui avait fourni un colt cobra.

Ils parvinrent à trouver de la place non loin du restaurant et finirent le reste du trajet à pied,il était pas loin de cinq heures et la salle était vide à l'exception des serveurs qui rangeaient les tables afin d'assurer le service du soir.Bobby balaya la salle du regard et devisa une femme dans le fond de la salle qui faisait les comptes et dont les vetements étaient plus classe et pas assortis de la même façon que les serveurs.
Il s'approcha d'elle d'un pas déterminé et entama la conversation:

"Bonjour Madame,comment allez vous aujourd'hui?Vous avez fait un bon chiffre d'affaire?Je suis dans le métier moi aussi et je souhaiterais vous parler.

Bobby attendit une réponse.

Gary et Elisabeth Peterson était les heureux propriétaire du Peterson's restaurant, qui depuis deux ans était devenue l'un des meilleurs restaurant de Staten Island et le plus cotoyé par la haute societé. Elisabeth Peterson avait profité d'une journée plus calme pour faire les comptes du restaurant. Elisabeth terminait d'effectuer le bilan des trois dernières semaines, lorsqu'un homme s'approcha d'elle. L'homme en question ne se présenta pas et eu l'air fort interessé de discuter affaire. Ce qui ne rassura pas Elisabeth Peterson.

- Je vous demande pardon ?

Elisabeth ne connaissait pas cet homme et à son souvenir Gary n'avait pas de rendez vous aujourd'hui. Elisabeth posa son stylo sur la table et demanda toujours sur un ton froid.

-Qui étes vous ?

"Désolé Madame je ne me suis pas présenté, je m'appelle Robert DiBono et voici mon associé John Moretti , nous sommes dans la restauration et nous avons remarqué qu'il y avait souvent de la concurrence entre restaurant et vous savez cette concurrence est souvent pour le moins déloyale, ainsi avec des relations et des connaissances , on a réussi à constituer un réseau de relations qui nous protège de ce genre de désagrément et moyennant une petite contribution hebdomadaire nous pouvons vous faire bénéficier de cette protection.Qu'en dites vous Madame Peterson?"

Elisabeth Peterson ouvrit grand les yeux. Ces deux hommes commencaient sérieusement à lui faire peur. De quelle genre de protection voulait il parler et quel était le rapport avec le Peterson's Restaurant.

- Messieurs je peux vous aider ?

Gary Peterson avait surgit de nul part, il ne laissa pas le temps au deux hommes de répondre à sa question il renchérit aussitôt

- Nous n'avons besoin d'aucune protection quand à la concurence nous y faisons face de manière commerciale monsieur ! Et les années viennent à prouvé que dans ce domaine là nous n'avons aucun probléme. Je vous remercie de l'intêret que vous pouvez porter à nos affaires, mais nous n'avons nullement besoin de vos services, ni aujourd'hui ni même demain ! Sur ce messieur je vais vous souhaiter une excellente journée...

Gary ne souhaitait pas discuter plus longtemps avec ses deux hommes qui ne lui inspirait pas du tout confiance.

Bobby ne tenait plus en place,les restaurateurs faisaient de nouvelles difficultés, aussi Bobby se décida à employer la manière forte

"écoutez moi bien les amis, pour l'instant vous n'avez pas besoin protection mais si vous ne voulez pas commencer à payer,vous allez perdre de l'argent et même beaucoup d'argent"

Sur ces mots,Bobby adressa un signe au colosse qu'était Gino ,ce dernier envoya valser Gary d'un revers du bras et saisit sa femme tout en sortant son colt Cobra.Bobby sortit aussi son arme et se précipita vers le téléphone qui était sur la table et le débrancha puis il se tourna vers les serveurs médusés et les menaça de son arme

"Le premier qui bouge le petit doigt pour appeler les flics je le bute sans aucune forme de procès,c'est bien compris"

Les serveurs médusés n'osaient même plus respirer,Bobby se déplaça vers la cuisine et l'inspecta,comme il s'y attendait à cette heure avancée,il n'y avait qu'un cuistot qui préparait la cuisine pour la soirée.Il le menaça de son arme et le poussa dans la salle avec les autres.Bobby se précipita vers la porte d'entrée et renversa l'écriteau mentionnant "fermé" puis il verrouilla la porte.
Il revint vers les "otages" et reprit la "conversation".

"Maintenant vous êtes disposés à payer ou on commence à un prélèvement en nature" dit le mafieux en montrant Élisabeth puis il se retourna et envoya valser une table pleine de vaisselles a terre."

Il tenait toujours son CZ 75 auto pointé sur les otages et attendait une réponse.

Elisabeth était effrayé et regardait son mari d'un air implorant. Gary quand à lui regardait d'un air menaçant les hommes qui venaient de semer la panique dans son restaurant. Mais il ne voulait pas plus affolé Elisabeth, alors il se résigna , il se chargerait de toute cette histoire plus tard. Car Gary n'était pas de ceux qui oubliait.

- Vous voulez de l'argent, je vais vous donner ce que vous me demander, mais dans un premier temps lachez ma femme ! Et allons discuter de tout cela dans mon bureau...

Bobby se rapprocha de Gary et après lui avoir asséné un coup de poing, il lui enfonça son automatique dans la bouche:

"me prends pas pour un con espèce de sale connard,maintenant je vais vous dire ce que je veux et si vous voulez éviter un drame, vous allez gentiment acquiescer sinon je te montre ce que se faire monter par un étalon veut dire pour ta femme.Je veux 2500 billets la semaine et deux boulots fictifs,un de serveur pour Gino et un de maitre d'hôte pour moi, après mon gros Gary refuse ma proposition,fais une connerie appelle les flics et je bute ta femme puis tout tes serveurs et tes cuistots,je plastique ton restau, j'en fais un bordel et je te fais bosser dedans.Alors est ce que tu accepte mon offre?" dit t'il en saisissant un couteau coupant qui trainait par là et en le baladant sous la gorge du restaurateur alors que Dino tenait toujours la femme le cou enserré dans le bras de l'associé de Bobby et l'autre tenant de son colt cobra en respect les serveurs.

- Je vous fournirais les deux emplois fictifs que vous me demander et je vous paierais 2500$ par semaine !

Gary accepta rapidement l'affaire, il n'avait qu'une envie c'est que les hommes quittent son restaurant. Ensuite il ferait le nécessaire de son cotés.


ACTION VALIDE
SOIT 10 000 $ de revenu par mois

Glory Social Club

Un jeune serveur s'empressa alors de s'approcher de la table ou les deux hommes venaient de s'installer, la serviette sur le bras sous le regard attentionné du chef de salle.

- Bonjour, ces messieurs désirent il un apéritif ?

Le serveur attendit une réponse, un sourire forcé sur les lèvres, le regard rivé sur la tenue vestimentaire des deux hommes. Ce n'était pas trop le genre de la maison...

Un peu étonné par les propos qu'il venait d'entendre, le serveur s'exécuta et servit le meilleur vin de la maison, avec quelques petits gâteaux apéritifs, puis il se mit plus en retrait attendant un signal pour débarrasser la table et prendre la commande de l'entrée. Pendant ce temps là le bruit courait dans tous le restaurant, que les deux hommes à la table était là pour la presse. Le cuisinier se déplaça alors en personne pour saluer les deux hommes jusqu'à leur table et leur demanda

- Bonjour, messieurs, souhaitez vous que je vous prépare le menu du jour ou avez vous une spécialité précise que vous aimeriez gouter ?

Le chef ne prit pas à mal la réfléxion des deux hommes et pour cause il ne fallait pas être perpsicace pour comprendre que ses hommes n'étaient pas la pour jugé de la qualité du restaurant. Mais il ne se permit pas de le dire il répondit simplement

- Trés bien, je vais vous faire servir vos repas messsieurs.

Le chef ne s'attarda pas sur le sujet de la fermeture de l'établisssement il avoua seulement

- La fermeture ne sera que de courte durée, juste le temps que les nouveaux propriétaires prennent la relévent...

Puis le chef s'excusa et se retira dans la cuisine. Pendant ce temps la le chef de salle ne cessait de dévisager les deux hommes assit à leur tables attendant leurs repas.